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©Mathilde Thiennot

Pour l’événement Paris gallery weekend, Ricardo m’a proposé de faire une performance à la galerie.

De là, est venu l’idée de cette peinture que j’ai pensé en lien avec ma série de peintures « encre moi » exposée, en partie, à l’intérieur de la galerie pour l’exposition collective « Le voyage imaginaire ».

Je l’ai imaginé grande, imposante, vivante, en démonstration permanente dans la galerie marchande, en proie avec les regards et les commentaires des passants.

 Dans un contexte des plus inquiétants pour notre environnement, c’était selon moi, le moment de réaliser une peinture qui interpelle.

La phrase « Je meurs sous le poids de tes caprices » est une alerte, un cri.

Un message décrivant la situation actuelle sur nos manières de vivre et de consommer.

Consommation à outrance, sans se soucier d’où ça vient et où ça finira…

Un mode de vie capricieux et irraisonné qui, par ricochet, demande à la planète de s’adapter à chaque instant.

Je meurs sous le poids de tes caprices

charbon, peinture, fusain, pastels, collage

91x 189 x 4cm

2023
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